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01 .Les hommes partent en guerre
Les soldats pictons et charentais apprennent par l’ordre de mobilisation général du 2 août 1914 et par voie de presse que la guerre a éclaté. Ils se regroupent sur les places des villes et villages prêts à partir. Ils ne se doutent que les attend un nouveau type de guerre, ou l’artillerie prédomine .
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02 . L’arrière, une zone de guerre ?
L’actuel Poitou-Charentes est une région littorale, elle devient donc l’une des scènes d’opération de la guerre sous-marine gênant le ravitaillement de la France. Les côtes se protègent tandis que les populations subissent le manque de certains produits. Les civils sont donc directement confrontés à la guerre, l’arrivée de blessés dans les hôpitaux militaires les confrontent avec la réalité des combats.
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03. Les prémices de la mondialisation
Belges, prisonniers de guerre allemands, travailleurs chinois, soldats américains, autant de populations étrangères qui confrontent les civils avec la guerre mondiale qui se joue sur le front.
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04. La vie quotidienne
Les civils ne sont pas épargnés par la guerre. Ils doivent faire face au manque de produits alimentaires, au rationnement et à la hausse des prix. Ils travaillent pour les armées, afin de produire toujours plus d’obus, de balles ou de grenades. A l’école, les enfants sont en contact direct avec le front et dévouent leurs activités aux soldats. Les familles espèrent de bonnes nouvelles à chaque réception d’une lettre ou en lisant la presse.
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05. La fin de la guerre
La fin de la guerre se caractérise par l’apparition de la grippe espagnole. Le 11 novembre, jour de l’armistice est un épisode de liesse dans le Poitou et les Charentes. Date qui marque la fin des hostilités sur le front, les civils attendent désormais le retour du soldat.
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06. Se souvenir…
Face à l’hécatombe causée par la Première Guerre mondiale, les Français ressentent le besoin de rendre hommage à leurs morts. Entre 1920 et 1925, une vague de monuments déferle dans une grande partie des villes et villages français.
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